
CF Piste 1/8 Classique La Turbie TRC Resultats
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La 2ème épreuve du championnat de France Classique a amené tous les participants tout près du célèbre rocher de Monaco, dans un lieu majestueux où l'on ne s'attend pas à trouver un circuit dédié à notre loisir favori.
* Remerciements particuliers à Maurice Loric et à Nathalie Perillo pour leur accueil.
Direction La Turbie et son célèbre club TRC emmené de mains de maîtres par les deux présidents des lieux Philippe Gancia et Marc Carpinelli. Une équipe chapeautée par la sémillante Nathalie Perillo qui sera également en charge de la partie chronométrage sur cette manche, puis par le trésorier du club qui veillera sur le bon respect des procédures de départ. A noter que cette épreuve testait pour la 1ère fois un nouveau logiciel de gestion automatique de course dont les débuts semblent prometteurs puisque la course ne connaîtra aucun raté à ce niveau. Côté participation, on notera un certain lâché prise de la part de certains pilotes par rapport au premier épisode Grenoblois du mois dernier. Une raison qui s'explique sans doute par la distance à couvrir et les frais importants pour les plus éloignés d'entre-eux. Qu'à cela ne tienne, nous recenserons quand même sur place 65 pilotes, dont 17 pilotes en Elite, 27 pilotes en National et 21 pilotes en Brushless.

Philippe Gancia et Marc Carpinelli, les deux présidents du club TRC de la Turbie.

Nathalie Perillo, la grande prêtresse des lieux qui s'est occupée du comptage avec efficacité durant ces 2 jours de course.
La piste
Tout simplement grandiose ! Dès notre arrivée sur le site, un grand sentiment d'immensité et de majestueux s'emparera de nous. Dieu que c'est beau ici ! A proximité du village pittoresque de La Turbie, rien ne laisse en effet présager qu'un tel lieu puisse être dédié à la pratique de notre loisir favori. Du bord de route, les amoureux de belles mécaniques et de sport automobile croisent un parc de voitures de super sport insensé. On entend dans la vallée les borborygmes des échappements des Ferrai, Porsche Lamborghini et autres bolides de prestiges qui sillonnent en toute quiétude la Principauté et ses environs. Le tout en parfaite osmose avec la nature et les habitants. Pas un radar, pas de repression exacerbée comme sur le restant du territoire. Que du bonheur ! Et pour en revenir à notre petite affaire, une piste magique donc, pas très longue (moins de 300 mètres à coup sûr), parfaitement entretenue avec de beaux vibreurs, mais un bitume assez ondulé par endroit. Une piste difficile, car hyper sinueuse et en devers. D'où une usure asymétrique des pneumatiques qui se produira ici et qui obligera les pilotes à ne pas se louper dans leurs choix de pneumatiques pour ne pas terminer leurs remontées ou leurs finales sur les jantes !

La Piste du club TRC de La Turbie se situe à mi-chemin entre le rêve et la réalité. Un petit coin de paradis.

Le cadre de cette piste est idyllique. Un régal pour tous les pilotes présents !

Le circuit peut emprunter deux sens de roulage. Pour l'heure, les pilotes roulaient dans le sens des aiguilles d'une montre.

En contrebas de la piste, la mer. Dépaysement total à La Turbie.

Le podium pilote du club, avec sa toiture prolongée caractéristique qui protège des rayons du soleil.

65 pilotes ont occupé les stands, avec respectivement 17 pilotes en Elite, 27 pilotes en National et 21 pilotes en Brushless.

Le briefing du samedi matin.

Les pilotes attentifs aux derniers points de la réglementation de course.

Didier Parisi sera le directeur de cette course.

Jacky et Mimi en pleine forme de bon matin !

Le site exceptionnel de La Turbie.

Les conversations allaient bon train avant le départ des premiers essais.

La pole pour Serge Christiany.

La Forfaster Z1 de Serge Christiany était vraiment la plus rapide sur ce circuit.

La Forfaster de Christiany disposait de nouvelles pièces.

Nouvelle pièce alu à proximité du réservoir, avec écrou nylstop incorporé.

La pole, Serge Christiany la doit aussi à son moteur Forfaster qui fait jeu égal avec toutes les productions Italiennes et Japonaises en concurrence.

Brice François a acquis ses lettres de noblesse durant la finale ou il fit jeu égal avec les pointures de la catégorie.

La voiture de Brice François qui termine à la 2ème place de la finale Elite.

Brice François fait partie des top pilotes qui utilisent dorénavant des servos SRT à boîtiers aluminium.

Brice François obtient sa 2ème place avec ce moteur OS Rody VSR01.

Léandro Parisi, le boss de chez Forfaster, toujours présent pour assister ses pilotes.

Léandro Parisi en train de préparer un moteur pour l'un de ses champions.

Pole position également très nette et sans bavures pour William Borghèse dans la classe Brushless.

La SPM Evolution de William Borghèse qui roule pour le magasin SPM de Nice.

Les SPM sont incontestablement les châssis à battre en brushless.

William Borghèse utilisait les nouveaux accus Li-Po EZ-Power au graphène qui confèrent des performances époustouflantes aux moteurs brushless !

ART distribue les nouveaux accus Li-Po au graphène qui furent utilisés par le vainqueur en brushless.

La SPM de William Borghèse avec ses accus Li-Po 2x 2S EZ-Power au graphène en vente chez notre partenaire ART.

Commandez les nouveaux accus Li-Po au Graphène ici.

Daniel Grosso rafle la pole en National.

La Forfaster Z1 de Daniel Grosso.

Les deux pole man thermiques Daniel Grosso et Serge Christiany.

Le grand boss de la société Italienne 7075.it.

La palme de l'exotisme et du déplacement le plus long pour Patrick Hillion venu depuis la Martinique !

La SPM Révolution de Patrick Hillion motorisée par un Novarossi.

Jacky Mouton tenait la super forme sur cette manche. Il décrochera une place de finaliste direct après les qualifs en Elite.

La Forfaster Z1 de Jacky Mouton signe le 2ème chrono des qualifs en Elite.

La Forfaster Z1 de Jacky Mouton, toujours préparée aux petits soins.

Jacky Mouton a modifié la partie avant de la platine supérieure, avec une plaque plus épaisse qui influe sur la rigidité.

Moteur OS Rody VSR02 sur l'auto de Jacky Mouton qui terminera également 2ème de la finale Elite.

Stéphan Nicaud tout sourire après les qualifs.

La Forfaster Z1 de Stéphan Nicaud.

La Forfaster Z1 de Stéphan Nicaud comportait quelques nouveautés sur le plan mécanique.

De nouveaux écrous de roues ont fait leur apparition sur l'auto de S.Nicaud.

Stéphan Nicaud est revenu à la version VSR01 du moteur OS Rody qui est toujours disponible au catalogue, et moins chère à l'achat.

Stéphan Nicaud n'utilise plus que les nouveaux servos SRT à boîtiers aluminium.

Jean-François Velvindron s'offrira une finale en Elite. Il connaîtra un problème de puce durant celle-ci.

Retour d'Alain Simbeni en National, sympathique pilote qui officiait dans la catégorie TT 1/8 thermique dans les années 80.

Encore un pilote qui nous venait du club Amac de Monteux.

Le moteur OS préparé par Shimo demeure également très prisé des utilisateurs de voitures de piste.

Nouvelle et dernière évolution de la la Contact à bord de laquelle nous apercevons ici le nouveau train avant à fourchettes.

La Contact en version 2017 dispose d'un train arrière révolutionnaire dont la géométrie ne possède plus aucun tirant ou plus aucune triangulation supérieure !

Les bras inférieurs en aluminium de la nouvelle Contact et leurs porte fusées respectifs assurant un réglage du carrossage des roues sans incidence sur l'angle de pincement.

Fabien Waremboug place la nouvelle Contact à la 10ème place de la finale Elite.

Belle course pour Nicolas Smaldone. Celui-ci se placera à la 4ème place du classement final en brushless.

Nicolas Paul.

Le jeune Antoine Lamouroux.

Les nouvelles couleurs de la Forfaster Z1 d'Antoine Lamouroux.

La Forfaster d'Antoine Lamouroux.

Les systèmes de traitement rivalisent d'ingéniosité pour tenter de trouver la performance ultime. Ici le système JR Grip.

Le traitement est devenu un incontournable des épreuves de Classique !

Henri Almodovar et Maurice Bec, les 2 inséparables !

La forme pour Eric Perrin avec sa nouvelle déco !

On affûte la géométrie pour gagner des dixième sur la piste !

Dans les stands électriques, le fameux chargeur Graupner Polaron est roi !

Toujours charger ses accus dans le sac de charge spécialement prévu à cet effet pour la sécurité !

Le fameux pilote en orange !

Gérard Brun et sa SPM Révolution.

La SPM de Gérard Brun.

Gérard Brun a opté lui aussi pour le moteur OS Rody VSR02.

Encore un retour pour Eric Bousquet, ex coqueluche des pilotes TT de la ligue 11 dans les années 80/90 !

Course prometteuse pour Gilles Garrigou qui se hissera à la 2ème place des qualifs en National.

La Forfaster Z1 de Gilles Garrigou du Team APR.

La Forfaster de Gilles Garrigou.

Notez la culasse rabaissée au maximum sur l'auto de Gilles Garrigou.

Gilles Garrigou a entièrement revu la partie avant du châssis de la Forfaster Z1. Du bel ouvrage.

Un petit échantillon des pièces spéciales qui sont développées par Gilles Garrigou pour la Forfaster Z1.

Cyril Fages place son auto en finale et terminera en 12ème position.

La voiture de Cyril Fages du team APR se placera à la 10ème place des qualifs en Elite.

Un moteur Maxima préparé Collari étaient visible sur l'auto de Cyril Fages.

Nouvelles pièces alu option développée par Gilles Garrigou sur l'auto de Philippe Fages.

Raidisseur réglable à l'avant signé Giga+.

Yann Garreau du club Amac de Monteux.

La voiture de Yann Garreau.

La voiture de Yann Garreau.

Julien Mathieu, dit : Juju la Goupille, aura une nouvelle fois manqué de chance, trahi par son servo Savöx en demi-finale !

La SPM Révolution de Julien Mathieu a opté pour le moteur NDS Tech S-Line.

Rodolphe Brincat, le boss du magasin SP Modélisme de Nice, et le papa des châssis SPM thermiques et électriques.

Avec la proximité de Monaco, encore 2 nouveaux pilotes Italiens très sympathiques en Classique !

Marc Dell Unto et son look " Blues Brothers from 69 " !

La DXF de Marc Dell Unto : une auto joliment pensée sur le plan mécanique.

En brushless, Michel Fernandes accédera à la 3ème place du podium avec sa SPM Evolution.

Christian Faye du team DXF.

La SPM Evolution de Christian Faye avec ses " Enormes " accus Corally 8000 mA en 90C !

Loïc Nozeran ne roule plus en TT 1/8ème thermique, mais en piste Classique !

La Forfaster Z1 de Loïc Nozeran.

Frédéric Ruiz termine 5ème de la finale Elite.

La voiture de Frédéric Ruiz.

Mathieu Vallomi.

La Forfaster Z1 Mathieu Vallomi.

La Forfaster Z1 Mathieu Vallomi.

Franck Fauda-Rolle.

La Forfaster Z1 de Franck Fauda-Rolle.

La voiture de Franck Fauda-Rolle.

Pascale Manière en phase de réchauffage.

Enrico Punturiero au départ des essais libres !

François père et François fils : le duo de choc de cette 2ème manche !

Brice François avec son papa et fidèle mécano !

Alain Bernard.

La Forfaster Z1 d'Alain Bernard.

La Forfaster Z1 d'Alain Bernard.

Les 2 pole men thermiques, Daniel grosso et Serge Christiany.

Enrico Punturiero et son complice Italien.

Jean-François Velvindron.

Rodolphe Brincat.
Qualifications
En catégorie Elite, 2 pilote seront largement au dessus du lot. Il s'agit dans l'ordre de Serge Christiany et de Jacky Mouton qui seront les seuls pilotes à pouvoir passer la barre des 20 tours. Avec respectivement 20 tours 5.06.962 pour Christiany et 20 tours 5.12.506 por Mouton. Derrière, nous retrouverons Enrico Punturiero en 3ème position devant Julien Mathieu et Frédéric Ruiz. Puis Stéphan Nicaud et Rodolphe Brincat, Pascal Manière, Brice François et Cyril Fages.
En catégorie National, Daniel Grosso sera intouchable. Il rentre un 19 tours en 5.07.354 dans la 3ème manche et se situera dans un intervalle de 3/4 secondes de ses rivaux directs Gilles Garrigou et Mathieu Vallomi. Viendront ensuite Michele Cusimano et Frédéric Garibaldi, puis Franck-Fauda Rolle et le vieux briscard de Gérard Brun qui devance Enrico Piccinini, Stéphane Guibaut avec son échappement tout neuf et Nicolas Paul.
En catégorie Brushless, personne ne pourra aller chercher William Borghèse qui est sur un petit nuage. Grâce à soin doigté hors pair et à ses nouveaux accus au graphène disponibles chez notre partenaire ART (Asia Racing Team), le pilote SP Modélisme SPM rentre un chrono de référence hallucinant encore plus rapide que les pilotes thermiques Elite ! Soit un 20 tours en 5.00.540 à la limite du 21 tours qui va le placer loin devant Joël Rouvier et Mathieu Estela. Suivront ensuite Michel Fernandes, Nicolas Smaldone, Chyristian Faye et Marc Dell Unto en tir groupé, Patrick Garnier et Jean-François Malato.
Classements qualifications



Les finales
En catégorie Elite, les premiers minutes de course sont " muy caliente ", car animées par une belle passe d'armes entre le pole man Serge Christiany et Jacky Mouton. Jacky Mouton se payant même le luxe de s'emparer du commandement de la course durant quelques tours. Mais à la suite d'une petite erreur, Serge Christiany impérial parvient à reprendre la tête de course. Il aura pourtant eu fort à faire durant les 45 minutes réglementaires, car Brice François se sera révélé être un farouche adversaire sans cesse rivé à ses talons. Peu avant la mi-course, Serge Christiany possède 1 tour d'avance sur Brice François. Si les positions paraissent figées en tête, la bagarre se situe plutôt à la 2ème place entre Brice François donc et Jacky Mouton. 2 à 3 secondes seulement séparant leurs autos au fil des tours. En 4ème position, Stéphan Nicaud pas au mieux de sa forme est à un tour. Il fait ce qu'il peut pour conserver sa 4ème place. D'autant qu'il voit remonter dans ses rétroviseurs l'auto de Rodolphe Brincat. Brincat connaîtra finalement un souci en fin de course qui l'obligera à s'arrêter. Un peu plus loin, Frédéric Ruiz et Pascal Manière mènent une course sage et régulière. A 30 minutes de course, Serge Christiany impérial possède 2 tours d'avance sur Brice François et sur Jacky Mouton toujours en bagarre. Mais lors du dernier changement de pneus, Serge Christiany loupe sa sortie et perd un temps précieux qui permet à Brice François de revenir dans sa roue. Toute l'avance accumulée par Serge a donc fondu comme neige au soleil, et celui-ci doit faire le forcing pour conforter sa première place. Serge mettra dès lors les bouchées doubles et terminera quand même victorieux avec 6 secondes d'avance à l'arrivée sur son jeune rival. Jacky Mouton, Stéphan Nicaud et Frédéric Ruiz bien remonté complètent le quintet final !
En catégorie National, deux hommes seront au dessus du lot. S'agissant du pole man Daniel Grosso et de Stéphane Guilbaut. Ils se livreront à une bagarre omniprésente durant toute la course. Quelques secondes seulement départageant leurs deux autos jusqu'à la mi course. Derrière, Jean-Paul Botta ne sera jamais bien loin et remontera comme un boulet sur la fin de course sur Stéphane Guilbaut, mais en vain. Il accrochera finalement la dernière place sur le podium devant Mathieu Vallomi, puis Pascal Lefeve.
En catégorie Brushless, rien ni personne ne pourra arrêter William Borghèse. Aidé par son pilotage très propre et acéré et par ses nouveaux accus au graphène disponibles chez notre partenaire ART (c'est pas d'la pub ça ?!), celui-ci va enchaîner scratch sur scratch et terminer sa course avec près de 3 tours d'avance au terme des manches devant Mathieu Estela et Michel Fernandes. Termineront dans le top five Nicolas Smaldone et Christian Faye.

Podium Elite : victoire de Serge Christiany devant Brice François et Jacky Mouton.

Podium National : victoire de Daniel Grosso devant Stéphane Guilbaut et Jean-Paul Botta.

Podium Brushless : victoire de William Borghèse devant Mathieu Estella et Michel Fernandes.
Classement finales




Galerie photos












































